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REFERENCE  215


(Livre le Plus Saint p.31-32)  :  (Verset 33)  Ô peuple de Bahá !  Il incombe à chacun de vous de se livrer à une occupation telle que l’artisanat, le commerce ou toute autre activité. Nous avons élevé votre engagement, dans un tel travail,  au rang de l’adoration du seul vrai Dieu. Réfléchissez, ô peuple, sur la grâce et les bénédictions de votre Seigneur, et remerciez- le soir et matin. Ne gaspillez pas vos heures dans l’oisiveté et la paresse, mais consacrez-vous à ce qui vous profitera, à vous et aux autres. C’est ce qui fut décrété dans cette Tablette à l’Horizon de laquelle brilla l’étoile matinale de la sagesse et de la parole. Aux yeux de Dieu, les hommes les plus méprisables sont ceux qui s’asseyent et mendient. Tenez-vous fermement à la corde des ressources et placez votre confiance en Dieu, Celui qui pourvoit à tout.

(Livre le Plus Saint p.73)  (Verset 147)  Il est illicite de mendier, et il est interdit de donner au mendiant. Il a été enjoint à tous de gagner leur vie, et, quant à ceux qui en sont incapables, il incombe aux mandataires de Dieu et aux riches de prendre des mesures adéquates à leur égard. Veillez sur les lois et les commandements de Dieu; protégez-les même comme la prunelle de vos yeux et ne soyez pas de ceux qui souffrent une perte cruelle.

(Tablettes de Bahà'u'llàh p.26)(Extrait de Bishárát : les Bonnes Nouvelles)  La douzième bonne nouvelle. Il est enjoint à chacun d’entre vous d’exercer une activité telle que l’artisanat, le commerce ou toute autre occupation similaire. Nous avons gracieusement élevé votre engagement dans un tel travail au rang de culte rendu à Dieu, le Vrai. Méditez en vos cœurs la bienveillance et la bonté de Dieu, et rendez-Lui grâce à l’aube et au crépuscule. Ne dissipez pas votre temps dans l’oisiveté et l’indolence. Occupez-vous de ce qui sera profitable pour vous et pour les autres. Ainsi en a-t-il été décidé dans cette Tablette à l’horizon de laquelle apparaît, resplendissante, l’étoile du jour de la sagesse et de la parole. Les plus méprisables des hommes pour Dieu sont ceux qui vivent dans l’oisiveté et qui mendient. Saisissez- vous de la corde des ressources matérielles, tout en mettant votre entière confiance en Dieu, le Dispensateur de toutes ressources. L’artisanat ou le commerce en soi sont considérés par Dieu comme des actes d’adoration de la part de ceux qui les exercent ; et ceci n’est rien d’autre qu’un signe de Son infinie et universelle bonté.

(Tablettes de Bahà'u'llàh p.53-54)(Extrait de Tajallíyát : Effulgences) La troisième Tajallí concerne les arts, les métiers et les sciences. La connaissance est comme des ailes pour la vie de l’homme et une échelle pour son ascension. Il incombe à chacun de l’acquérir. Néanmoins, il faudrait acquérir la connaissance des sciences qui sont profitables aux peuples de la terre, mais non de celles qui commencent par des mots et qui finissent par des mots. Grand en effet est le droit des hommes de science et des artisans sur les peuples du monde. Le Livre Mère en témoigne au jour de son retour. Heureux ceux  qui possèdent une oreille attentive. En vérité, la connaissance est un véritable trésor pour l’homme et une source de gloire, de bonté, de joie, d’exaltation, de courage et de bonheur pour lui. Ainsi a parlé la Langue de grandeur dans cette très grande prison.

(Paroles cachées p.107) : (Parole Cachée en persan, N° 80)  Ô Mes Serviteurs !
Vous êtes les arbres de mon jardin ; vous devez produire des fruits merveilleux et de bel aspect, dont vous-mêmes et d’autres profiteront. Il appartient donc à chacun d’exercer un métier ou une profession, car c’est là le secret de la richesse, ô hommes d’intelligence. En effet, les résultats dépendent des moyens et la grâce de Dieu vous suffira amplement. Les arbres qui ne donnent pas de fruits ont été et seront toujours bons à mettre au feu.

(Paroles cachées p.108) : (Parole Cachée en persan, N° 81)  Ô Mon Serviteur !
Les hommes les plus indignes sont ceux qui ne produisent aucun fruit ici-bas. De tels hommes sont vraiment comptés parmi les morts ; que dis-je, les morts sont préférables au regard de Dieu à ces âmes paresseuses et sans valeur.

(Bahà'u'llàh et l'ère nouvelle p.95) : ‘Abdu’l-Bahá dit :“Dans la cause bahá’íe, les arts, les sciences et tous les métiers sont considérés comme un acte d’adoration. L’homme qui fabrique une feuille de papier du mieux qu’il peut, consciencieusement, en consacrant toutes ses forces à la parfaire, loue Dieu. Bref, tout effort où l’homme met tout son cœur est un acte d’adoration s’il est inspiré par des motifs élevés et par la volonté de servir l’humanité. Servir le genre humain et pourvoir aux besoins des peuples, c’est adorer Dieu. Servir, c’est prier. Un médecin qui soigne les malades patiemment, tendrement, sans préjugé, conscient de la solidarité de la race humaine, loue Dieu.” (Extrait des Causeries de ‘Abdu’l-Bahá à Londres - Éd. 1980, p. 79)
 

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