Retour

REFERENCE  224


(St Matthieu 23/13, 23-24) : (13) Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n’y entrez pas vous-même, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui veulent y entrer. (23) Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c’est là ce qu’il fallait prati quer, sans négliger les autres choses.(24) Conducteurs aveugles !qui éliminez le moucheron,et qui avalez le chameau.

(St Jean 8/31-32) : (31) Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeuriez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; (32) vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.

(Coran 2/170-171) : (170) Si on leur dit : « Ralliez ce que Dieu a fait descendre », ils disent : « Bien plutôt rallierons-nous ce que nous avons trouvé déjà en cours auprès de nos pères ». Eh bien ! et si leurs pères ne raisonnaient aucunement, non plus qu’ils ne se guidaient justement ? (171) La semblance des dénégateurs est comme de mener à grands cris (un bétail) qui n’entend que l’appel ou les invectives : sourds, muets, aveugles, incapables sont-ils…

(Coran 5/77) : Dis :  « Gens du Livre ! ne vous portez pas à l’extrême dans votre religion, à contrevérité. Ne cédez pas aux passions d’un peuple qui jadis s’est égaré, en égara d’autres en grand nombre, et perdit le droit chemin. »

(Coran 7/28) : Quand ils pratiquent une turpitude, ils disent : « Nous l’avons trouvée en usage chez nos pères. Dieu nous l’a donc prescrite ». Dis :  « Quant à Dieu, Il ne prescrit pas la turpitude ! Imputez-vous à Dieu ce que vous ne savez point ? »

(Coran 7/38) : Dieu dit : « Entrez parmi les nations révolues avant vous de djinns et d’humains, dans le Feu ». Chaque fois que l’une y entre, elle maudit sa sœur. Et cela jusqu’à ce que toutes s’y rejoignant, la dernière d’entre elles accusant la première, dise : « Notre Seigneur ! ils nous avaient égarés. Inflige-leur double châtiment de Feu ». Dieu dit : « A chacune le double »… Mais vous ne savez pas !

(Coran 7/179) : Oui, Nous avons créé pour la Géhenne bien des djinns et des humains : ils ont des cœurs pour ne pas savoir, des yeux pour ne point voir, des oreilles pour ne point entendre. Ceux-là ressemblent à du bétail, et même leur égarement va plus loin : ce sont les indifférents…

(Coran 33/66-69) : (66) en ce Jour où leur face se tordra dans le Feu et qu’ils diront : « Ah ! si nous avions obéi à Dieu, obéi à l’Envoyé ! » (67) et diront : « Seigneur, nous obéissions à nos grands, à nos nobles : ils nous ont égarés du chemin (68) – Notre seigneur, inflige-leur châtiment double et malédiction majeure ! » (69) Vous qui croyez, n’imitez pas ceux qui calomnièrent Moïse ; mais Dieu l’innocenta de leurs dires : il garde en Dieu sa noblesse.

(Coran 40/47-50) : (47) Lors ils s’entraccusent dans le Feu. Les faibles disent aux superbes de naguère : « Nous n’étions que vos sectateurs. Allez-vous nous épargner une parcelle du Feu ? » (48) les superbes de naguère disent : « Nous y faisons un tout » - Dieu a déjà tranché entre les adorateurs. (49) Et les hôtes du Feu disent aux gardiens de la Géhenne : « Appelez votre Seigneur : qu’Il nous allège fût-ce d’un jour de tourment » (50) ceux-ci répondent : « Vos envoyés ne vous sont-ils pas venus avec les preuves ? » Les premiers disent : « Mais si ! » Et les autres disent : « Alors invoquez ! » - L’invocation des dénégateurs n’est que d’égarement.

(Coran 49/6) : Vous qui croyez, si un malencontreux vous livre une information, tirez-là au clair, de peur de tomber sur des gens par ignorance, et de devoir ensuite le regretter.

(Coran 82/18-19) : (18) Encore une fois : qu’est-ce qui peut te faire comprendre ce qu’est le Jour de l’allé- geance ? (19) Un Jour où nulle âme n’a pouvoir en faveur de nulle autre, un Jour où le verdict revient à Dieu seul.

(Paroles cachées p.65) : (Parole Cachée en persan, N° 24)
Ô vous qui êtes sots et qui cependant passez pour sages !
Pourquoi prenez-vous l’apparence de bergers, alors qu’en vous-mêmes vous êtes devenus des loups acharnés contre mon troupeau ? Vous êtes même comme l’étoile qui se lève avant l’aube et qui, bien qu’elle paraisse lumineuse et radieuse, égare les voyageurs de ma cité et les conduit sur les chemins de perdition.

(Livre de la Certitude p.7-8) : De tout temps les chefs religieux ont tenu les peuples sous leur joug et les ont détournés des rivages du salut éternel, les uns par amour du pouvoir, les autres par ignorance. C’est à cause d’eux que tous les prophètes de Dieu ont bu la coupe du sacrifice et se sont envolés au plus haut horizon de gloire.

(Livre de la Certitude p.8-9) : L’opposition des chefs religieux et leurs protestations n’a généralement tenu qu'à leur ignorance et à leur incompréhension. Comme ils n’ont jamais compris le sens des paroles prononcées par les révélateurs de la beauté du seul vrai Dieu exposant les signes qui devaient annoncer l’avènement de la Manifestation suivante, ils élevèrent l’étendard de la révolte, suscitant la discorde et la sédition.

(Tablettes de Bahà'u'llàh p.34) : (Extrait de Tarázát : les Ornements) Le premier Taráz et la première effulgence apparue à l’horizon du Livre Mère est que l’homme devrait connaître son propre moi et reconnaître ce qui mène à la grandeur ou à la bassesse, à la gloire ou à l’humiliation, à la richesse ou à la pauvreté. Dès qu’il a atteint son niveau de réalisation et de maturité, l’homme a besoin de ressources, et les richesses qu’il acquiert par son art ou par sa profession sont méritoires aux yeux des hommes de sagesse…

(Proclamation de Bahà'u'llàh p.74) : Lorsque nous observâmes avec attention, Nous découvrîmes que nos ennemis étaient pour la plupart des prêtres….Dans le peuple, il en est qui disent : « Il a répudié les prêtres. » Dis : Oui par mon Seigneur ! Je suis vraiment Celui qui a aboli les idoles. Certes, nous avons fait sonner la trompette, qui n’est autre que notre sublime plume. Et voyez comment alors, prêtres, savants, théologiens et gouvernants ont défailli, excepté ceux que Dieu a préservés en gage de sa grâce. Il est réellement le Très-Généreux, l’Ancien des Jours.
 
Ô assemblée de prêtres ! Chassez loin de vous vos illusions futiles et vos vaines idées, puis tournez-vous vers l’Horizon de la Certitude. Je le jure, par Dieu ! Rien de ce que vous possédez ne vous profitera, ni tous les trésors de la terre, ni le pouvoir que vous avez usurpé. Craignez Dieu et ne soyez pas de ceux qui se perdent….

Dis : Ô assemblée de prélats ! Débarrassez-vous de vos voiles et de vos accoutrements. Tendez l’oreille vers l’endroit d’où vous appelle la Plume suprême en ce jour merveilleux…. Le monde s’est recouvert de poussière à cause de vos vaines imaginations et les cœurs de ceux qui jouissent de l’approche de Dieu sont peinés dans la cruauté. Craignez Dieu et soyez de ceux qui jugent avec équité.

(Ecrits de Bahà'u'llàh p.70-71)(Extrait de Lawh-i-Ashraf, écrite à ‘Akká pour Ashraf)  Dis : La preuve première et principale de Sa vérité est Sa propre personne. Vient ensuite Sa révélation. Et pour ceux qui ne reconnaissent ni l’une ni l’autre, il reste les paroles qu’Il a révélées en témoignage même de Sa réalité. Voilà en vérité une manifestation de Sa tendre miséricorde envers les hommes. Il a doté toute âme de la capacité de reconnaître les signes de Dieu. Autrement, comment eût-Il tenu la promesse qu’Il avait faite aux hommes ?  Mais Il n’est injuste envers personne et ne charge aucune âme au-delà de ce qu’elle peut supporter. Il est, en vérité, le Compatissant, le Très-Miséricordieux.

(Ecrits de Bahà'u'llàh p.95) : (Extrait de Lawh-i-Nasír, adressé à Nasír)  Déchirez en Mon nom les voiles qui, si fâcheusement, obscurcissent votre vision, et par le pouvoir qu’engendre votre croyance en l’unité de Dieu, brisez les idoles des vaines imitations. Entrez alors dans le saint paradis du bon plaisir du Très-Miséricordieux. Purifiez vos âmes de tout ce qui n’est pas Dieu et goûtez la douceur du repos au sein de Son immense et puissante révélation, à l’ombre de Sa suprême et infaillible autorité. J’ai parfait en chacun de vous Ma création, pour que l’excellence de Mon ouvrage soit pleinement révélée aux yeux des hommes. Ne souffrez donc pas de rester enveloppés des voiles épais de vos égoïstes désirs. Ainsi l’homme a toujours été et restera à jamais capable de sentir de lui-même la beauté de Dieu, le Glorifié. S’il n’en avait point la faculté, comment pourrait-il être rendu responsable de ne l’avoir pas fait ? Si, au jour où tous les peuples de la terre seront rassemblés devant Dieu, il était demandé à un homme : “Pourquoi n’as-tu pas cru en ma beauté et t’es-tu détourné de Moi ?” et que cet homme répondît : “Je n’ai fait ainsi que suivre l’exemple des autres dont pas un seul ne s’est trouvé pour tourner sa face vers la vérité”, une telle sorte de justification serait assurément rejetée. Car la foi de tout homme ne dépend de personne autre que lui-même.

(Bahà'u'llàh et l'ère nouvelle p.215)  : ‘Abdu’l-Bahá dit : “Pour trouver la Vérité, nous devons renoncer à nos préjugés, à nos petites notions personnelles toutes superficielles ; il est essentiel d’avoir l’esprit ouvert et réceptif. Si notre calice est rempli de notre moi, il n’y a pas de place pour l’eau de vie. Le fait de prétendre que nous possédons la vérité et que tous les autres sont dans l’erreur est le plus grand de tous les obstacles vers le chemin de l’unité ; or, l’unité est primordiale pour atteindre la vérité, car la vérité est une...

“Aucune vérité ne peut contredire une autre vérité. La lumière est bonne quel que soit la lampe où elle brille. Une rose est belle quel que soit le jardin où elle s’épanouit ! Une étoile montre le même éclat, qu’elle luise en Orient ou en Occident ! Soyez libres de préjugés, ainsi vous aimerez le Soleil de Vérité à quelque point de l’horizon qu’il apparaisse. Vous réaliserez que, si la lumière divine de la vérité brilla en Jésus-Christ, elle brilla aussi en Moïse et en Bouddha. Voilà ce qu’on entend par rechercher de la vérité.

 “Cela signifie, de plus, que nous devons consentir à écarter tout ce que nous avons appris auparavant, tout ce qui entraverait nos pas dans la voie de la vérité ; nous ne devons pas hésiter, au besoin, à recommencer notre éducation depuis le commencement. Nous ne devons pas permettre à notre attachement pour une certaine religion ou pour une personnalité définie d’obscurcir notre vision et de nous enchaîner ainsi par les superstitions. Quand nous serons dégagés de tous ces liens, quand nous chercherons avec un esprit libéré, alors nous serons capables d’atteindre notre but.” (Extrait des Causeries de ‘Abdu’l-Bahá à Paris, p. 120-121)
 

RETOUR A / Δ / FRUITS / ETERNEL APPEL / E.COFFINET