REFERENCE 245
(St Jean 12/44-50) : (44) Or, Jésus s’était écrié : Celui qui croit en moi croit, non pas en moi, mais en celui qui m’a envoyé ; (45) et celui qui me voit voit celui qui m’a envoyé. (46) Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. (47) Si quelqu’un entends mes paroles et ne les garde point, ce n’est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. (48) Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour. (49) Car je n’ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m’a envoyé, m’a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer. (50) Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C’est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites.
(Coran 11/102-107) : (102) Telle est la saisie de ton Seigneur quand il saisit les cités, pour leur iniquité, d’une prise de violence et de douleur (103) en quoi réside un signe pour quiconque redoute le châtiment de la vie dernière. C’est là un Jour d’attroupement pour les humains, un Jour de témoignage (104) que Nous retardons seulement jusqu’à un terme précompté (105) un Jour qui vienne, où nulle âme n’ose parler qu’Il ne l’y autorise. Parmi les rassemblés se dis tinguent l’heureux et le misérable (106) quant au misérable,dans le Feu,soupirant et râlant (107) ils s’y éternisent pour la durée des cieux et de la terre (sauf ce que voudra ton Seigneur,car ton Seigneur est prompt à réaliser ce qu’Il veut)
(Coran 33/66-69) : (66) en ce Jour où leur face se tordra dans le Feu et qu’ils diront : « Ah ! si nous avions obéi à Dieu, obéi à l’Envoyé ! » (67) et diront : « Seigneur, nous obéissions à nos grands, à nos nobles : ils nous ont égarés du chemin (68) – Notre seigneur, inflige-leur châtiment double et malédiction majeure ! » (69) Vous qui croyez, n’imitez pas ceux qui calomnièrent Moïse ; mais Dieu l’innocenta de leurs dires : il garde en Dieu sa noblesse.
(Coran 39/73-74) : (73) Tandis que ceux qui se seront prémunis envers leur Seigneur sont poussés au Paradis par vagues, de sorte que quand ils arrivent, les portes s’en ouvrent largement et les gardiens leur disent : « Salut soit sur vous ! Paix sur vous ! Entrez-y pour l’éternité » (74) ils disent : « Louange à Dieu. Nous avons avéré Sa promesse. De la terre Il nous a fait héritier. Nous aurons site au Paradis, là où nous voudrons » - Faste salaire des agissants !
(Ecrits du Bàb p.71)
: (Extrait du Bayán persan, Váhid
II, Chapitre 16)
Il n’y a pas de paradis plus merveilleux pour une âme
que d’être exposé à la manifestation de Dieu en son
jour, d’entendre Ses versets et de croire en eux, d’atteindre Sa présence
qui n’est rien d’autre que la présence de Dieu, de naviguer sur
la mer du royaume céleste de Son bon plaisir, et d’avoir sa part
des fruits de choix du paradis de Sa divine unicité.
(Ecrits du Bàb p.73)
: (Extrait du Bayán persan, Váhid
V, Chapitre 19)
Selon les croyants en l’unité divine, il n’y a
pas de paradis plus exalté que d’obéir aux commandements
de Dieu, et il n’y a pas de feu plus ardent, aux yeux de ceux qui ont connu
Dieu et Ses signes, que de transgresser Ses lois et d’opprimer une autre
âme, même dans la mesure d’un grain de moutarde. Au jour de
la résurrection, Dieu jugera, en vérité, tous les
hommes et, en vérité, tous nous implorons Sa grâce.
(Ecrits du Bàb p.145)
: Tous les hommes proviennent de Dieu et tous, ils retourneront à
Lui. Ils apparaîtront tous devant Lui pour être jugés.
Il est le Seigneur du jour de la résurrection, de la régénération
et de l’expiation; Sa parole révélée est la balance.
La véritable mort est réalisée lorsqu’une
personne meurt à elle-même au moment de Sa révélation
de telle sorte qu’elle ne cherche rien d’autre que Lui.
La véritable résurrection hors des tombeaux
signifie être vivifié conformément à Sa volonté,
par le pouvoir de Sa parole.
Le paradis consiste à atteindre Son bon plaisir;
le feu éternel de l’enfer est Sa sentence prononcée en justice.
Le jour où Il se révèle est le jour
de la résurrection qui durera aussi longtemps qu’Il l’ordonnera.
Toute chose Lui appartient et elle est façonnée
par Lui. Tout autre que Lui est Sa créature.
(Bahà'u'llàh et l'ère
nouvelle p.36-37) : Une partie importante des enseignements du Báb
concerne l’éclaircissement qu’Il apporte sur les termes résurrection,
jour du Jugement, paradis et enfer. La résurrection, dit-Il, signifie
l’apparition d’une nouvelle manifestation du Soleil de Vérité.
La résurrection des morts signifie l’éveil spirituel de ceux
qui sont assoupis dans les tombeaux de l’ignorance, de la négligence
et de la concupiscence. Le jour du Jugement est le jour de la Manifestation
nouvelle où, par l’acceptation ou le rejet de Sa révélation,
les brebis seront séparées des boucs, car les brebis connaissent
la voix du Bon Pasteur et Le suivent. Le paradis, c’est la joie de connaître
et d’aimer Dieu, ainsi que Sa manifestation le révèle ; par
cette voie, l’homme atteint à la plus haute perfection dont il soit
capable et, après sa mort, il obtient l’accès au royaume
de Dieu et à la vie éternelle. L’enfer n’est que la privation
de la connaissance de Dieu, avec pour conséquence l’impossibilité
d’atteindre la perfection divine et la perte de la faveur éternelle.
Il déclare d’une façon absolue que ces termes n’ont aucun
sens réel en dehors de celui-ci et que les idées générales
relatives à la résurrection du corps physique, à l’enfer
et au paradis matériels et autres ne sont que fictions. Il enseigne
qu’après la mort la vie de l’homme continue et que, dans l’au-delà,
le progrès vers la perfection est sans limites.
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